2 mai 2011
Des rêves de maisons qui s'agrandissent dans votre dos
Des derniers instants le goût de l'absence, trop puissante pour être soutenue seule encore. Je me plie au blues larmoyant du retour brutal à la vraie vie, au sevrage californien. San Francisco me hante par esquisses : - j'étais un peu en retard à cette...