5 février 2009
Un thé dans un moule de cheval, l'hiver anisé à la petite cuillère
D'humeur marine. Je ne résiste pas au plaisir d'écouter Mallarmé. La chair est triste, hélas! et j'ai lu tous les livres. Fuir! là-bas fuir! Je sens que des oiseaux sont ivres D'être parmi l'écume inconnue et les cieux! [...] Parfois le temps cinglant...